Robert SCHUMANN (1810 - 1856)
Sonate nº 1, op. 11
Quasi variazioni op. 14
Gesänge der Frühe op. 133
Intermezzi op. 4
Bünte Blätter op. 99
Impromptus op. 5
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Piano: Jean Martin
Arion
Étonnement général lors du premier enregistrement, il y a dix ans! Jean Martin révélait une des plus grandes pages de Schumann. Il reste "l'inventeur" des Gesänge der Frühe.
- Alain Lompech
L'interprétation toute entière de Jean Martin, qui pourra dérouter certains auditeurs par sa lenteur et sa nudité, témoigne d'une réflexion intense et d'une prise de possession en profondeur de cet univers intimidant et étrange.
- Harry Halbreich
Ici, la voix de Jean Martin, fidèle traductrice de celle de Schumann, emprunte les purs accents d'Ariel. De plein pied, nous pénétrons dans le royaume de l'idéale poésie. Une contribuition éclatante à la discographie Schumannienne.
- Jean Gallois (Diapason)
Il nous fait oublier le jeu des doigts pour nous inviter au jeu poétique. Il sait ménager les contrastes de l'ombre et de la lumière, il sait chanter avec un sens naturel du sostenuto expressif. Une sorte de passion l'habite... Ce n'est pas tous les jours que le critique peut se laisser aller à l'enthousiasme.
- Max Pinchard
... l'un des plus purs Schumann de la discographie: celui de l'incomparable Jean Martin... Sa légèreté et l'émotion de son approche demeurent, en dépit de la concurrence, un modèle d'intelligence flamboyante dans la grande tradition d'Yves Nat qui fut son maître.
- La Montagne
C'est à Jean Martin que revient le mérite d'avoir enregistré pour la première fois, et fort bien, les Chants de l'Aube op. 133. Disons-le: sa version demeure inégalée à ce jour.
- M. Beaufils (La Musique pour piano de Schumann)
Jean Martin est un pianiste trop rare. Elève, entre autres, d'Yves Nat, il est un grand schumannien... Aussi traduit-il comme nul autre les Chants de l'Aube.
- Pierre Brunel (Compact Disc)
