Robert SCHUMANN (1810 - 1856)
Études d'après des Crapices de Paganini op. 3 & 10
Nachtstücke op. 23
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Piano: Jean Martin
Arion
L'interprétation de Jean Martin fuit l'ostentation et perçoit la musique en termes de virtuosité poétique. La vélocité n'y est plus qu'un aspect, presque secondaire pourrait-on dire, d'une vision "plurielle" où la qualité et la densité de la sonorité séduisent autant qu'un sens du legato dont, Claudio Arrau disparu, il n'est plus beaucoup d'exemples à présent.
- Alain Cochard (Diapason)
... Jean Martin, un vrai grand pianiste longtemps négligé, élève d'Yves Nat qui lui a sûrement transmis, sur Schumann, d'intéressants secrets... Lá où il pourrait "faire du Paganini" briller futilement, éblouir, Jean Martin fait du vrai Schumann.
- Jaques Bonnaure (Répertoire)
Un grand romantique, passionné et passionnat. Il admire Schumann et l'interprète comme peu de pianiste, avec une foi, une tendresse, une intériorité mêlées.
- Jean Gallois (Les petites affiches)
